Graphiste professionnel : Pourquoi opter pour un indépendant ?
Ah le freelance et le secteur de l’auto-entrepreneuriat. Une riche idée pour qui souhaite travailler de sa passion et grandir dans un secteur qui paraît plus ou moins fermé. En effet, en ce premier quart de XXIè siècle, nombreux sont les étudiants sortis de leurs écoles, passionnés comme jamais par leur métier, et qui se voit barrer la route par des salariés bien plus expérimentés. Le freelance est ce petit coup de pied dans la fourmilière, et vous pourriez bien y dénicher votre graphiste à un prix tout à fait raisonnable.
Le graphiste en freelance est bien souvent un jeune diplômé en manque de reconnaissance. Il aurait aimé apprendre davantage de ses pairs, sa formation est sans doute à parfaire, mais hormis des stages ou d’éventuels contrats en alternance. S’il a un peu de chance, lorsqu’il postule dans une agence de communication, il obtiendra un entretien mais une personne qui a près de 15 ans de métiers se présente au même rendez-vous. Aucune chance pour lui d’impressionner son futur-ex-employeur, qui ne daignera même pas décrocher le téléphone pour lui annoncer la mauvaise nouvelle.
Mais le bougre a de la ressource. Il ne se laissera pas atteindre aussi facilement. Il a des rêves plein la tête. Il sait que sa place est ici. Ainsi, il propose ses services tant bien que mal, à droite à gauche, sur internet, pour promouvoir avant tout son savoir-faire. Inutile d’espérer en vivre pour le moment. Une mission par mois peut amplement le satisfaire et lui permettre de travailler sur des projets concrets. Et le professionnalisme et l’engagement sera total.
Le graphiste travaillant en freelance n’a d’autres choix que de casser les prix pour attirer le regard. C’est vrai après tout, quelles sont ses références actuelles. Hormis quelques croquis personnels ou des réalisations pour des associations ou des proches. Il souhaite travailler pour des clients, dans un contexte professionnel, ressentir la pression de la demande, se plier aux consignes qui lui sont fixées, et apporter sa petite touche créative, afin de se démarquer et de permettre à son client d’être authentique.
Ainsi, en recherchant un graphiste indépendant via des portails numériques, vous constaterez que les prix peuvent varier, du plus expérimenté au jeune diplômé, et la prestation peut facilement varier de 500€ la journée à 250€ pour le même projet.
Davantage qu’à l’aide d’une agence spécialisée dans la communication et le marketing, faire appel à un graphiste professionnel, c’est lui donner une réelle chance, et potentiellement entretenir un contrat de confiance pour l’avenir. Comme votre société peut être innovante dans son secteur et avec l’envie de trouver les meilleurs fournisseurs, le graphiste en freelance est également en quête d’une démarcation et d’un rapport privilégié avec ses plus fidèles clients.
De plus, vous êtes assurés que le projet n’est pas confié à un stagiaire ou à un prestataire externe, et qu’ainsi le visuel rendu n’a pas été confié aux seconds couteaux de l’agence. Le graphiste professionnel s’engage personnellement. Et il en va de sa réputation dans le secteur. Ainsi, il ne doit pas se rater. Il ne le peut, s’il veut vraiment perdurer dans ce milieu. Il doit aller au bout de lui-même, de ses idées, continuer à étudier, et apporter les tendances qu’il constate dans la vie de tous les jours. Il sera certainement plus proche des gens et des clients pour satisfaire au mieux la demande.
L’envie de donner le meilleur
Le graphiste en freelance est bien souvent un jeune diplômé en manque de reconnaissance. Il aurait aimé apprendre davantage de ses pairs, sa formation est sans doute à parfaire, mais hormis des stages ou d’éventuels contrats en alternance. S’il a un peu de chance, lorsqu’il postule dans une agence de communication, il obtiendra un entretien mais une personne qui a près de 15 ans de métiers se présente au même rendez-vous. Aucune chance pour lui d’impressionner son futur-ex-employeur, qui ne daignera même pas décrocher le téléphone pour lui annoncer la mauvaise nouvelle.
Mais le bougre a de la ressource. Il ne se laissera pas atteindre aussi facilement. Il a des rêves plein la tête. Il sait que sa place est ici. Ainsi, il propose ses services tant bien que mal, à droite à gauche, sur internet, pour promouvoir avant tout son savoir-faire. Inutile d’espérer en vivre pour le moment. Une mission par mois peut amplement le satisfaire et lui permettre de travailler sur des projets concrets. Et le professionnalisme et l’engagement sera total.
Un prix défiant la concurrence
Le graphiste travaillant en freelance n’a d’autres choix que de casser les prix pour attirer le regard. C’est vrai après tout, quelles sont ses références actuelles. Hormis quelques croquis personnels ou des réalisations pour des associations ou des proches. Il souhaite travailler pour des clients, dans un contexte professionnel, ressentir la pression de la demande, se plier aux consignes qui lui sont fixées, et apporter sa petite touche créative, afin de se démarquer et de permettre à son client d’être authentique.
Ainsi, en recherchant un graphiste indépendant via des portails numériques, vous constaterez que les prix peuvent varier, du plus expérimenté au jeune diplômé, et la prestation peut facilement varier de 500€ la journée à 250€ pour le même projet.
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| La conception d'un logo professionnel : comment bien choisir votre graphiste, avant de vous lancer dans votre projet. |
Un contact unique et un réel potentiel à dénicher
Davantage qu’à l’aide d’une agence spécialisée dans la communication et le marketing, faire appel à un graphiste professionnel, c’est lui donner une réelle chance, et potentiellement entretenir un contrat de confiance pour l’avenir. Comme votre société peut être innovante dans son secteur et avec l’envie de trouver les meilleurs fournisseurs, le graphiste en freelance est également en quête d’une démarcation et d’un rapport privilégié avec ses plus fidèles clients.
De plus, vous êtes assurés que le projet n’est pas confié à un stagiaire ou à un prestataire externe, et qu’ainsi le visuel rendu n’a pas été confié aux seconds couteaux de l’agence. Le graphiste professionnel s’engage personnellement. Et il en va de sa réputation dans le secteur. Ainsi, il ne doit pas se rater. Il ne le peut, s’il veut vraiment perdurer dans ce milieu. Il doit aller au bout de lui-même, de ses idées, continuer à étudier, et apporter les tendances qu’il constate dans la vie de tous les jours. Il sera certainement plus proche des gens et des clients pour satisfaire au mieux la demande.
